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Lorsque que Souleymane At-Taymi -Qu’Allah lui fasse miséricorde- (m 143H) devint malade, il pleura intensément et on lui demanda : « Pourquoi pleures tu ? Est-ce par appréhension de la mort ? ».
Il répondit : « Non, mais je suis passé devant un Qadari et je lui ai donné le Salam, et je crains que mon Seigneur ne m’en tienne rigueur. »
[Abou Nou’aym dans « Al-Hilya » 3/32 et Ibn Al-Jawzi dans « Talbis-Iblis » (p.23 edition dar al-hadith)]
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مرض سليمان التيمي فبكى في مرضه بكاء شديدا، فقيل له : ما يبكيك ؟ أتجزع من الموت ؟
قال : لا، و لكني مررت قدري فسلمت عليه، فأخاف أن يحاسبني ربي عليه
[ ابن الجوزي في تلبيس إبليس و أبو نعيم في الحلية ]
Il a été rapporté que Abû-Bakr Al-Matoû’i (rahimahullâh) a dit :
« J’ai pris part aux assises de Ahmad Ibn-Hanbal (rahimahullâh) pendant une période de douze ans, alors qu’il lisait le Musnad à ses enfants, et je n’ai jamais écrit un seul hadîth, car je ne faisais qu’observer son comportement, son caractère et sa bienséance.»
[Ibn Al-Jawzî, Manâqib Ahmad, article 21]
Abu Qulaaba a dit :
« Ne vous asseyez pas avec eux – les gens de l’innovation – et ne vous mélangez pas avec eux (dans une autre version : ne débattez pas avec eux), car en vérité je crains qu’ils ne vous emportent tous dans leur égarement, ou qu’ils vous rendent confus concernant beaucoup de ce que vous savez. »
[ Al-Lalaka’i (244) et Ad-Darimi (chapitre 35) et ibn Batta dans al-Ibana (363) ]
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